Sont considérés comme taxis les véhicules dédiés au transport de personnes pouvant accueillir jusqu’à 9 passagers. Au-delà, la catégorie du véhicule change. Le conducteur doit disposer d’une carte professionnelle délivrée par la Préfecture ainsi que d’une licence d’autorisation de stationnement. Elle permet au chauffeur de taxi de stationner sur les emplacements dédiés.
Les taxis font partie de la catégorie des véhicules spécifiques (VS) et sont soumis à une réglementation différente de celle des véhicules privés.
Ce contrôle technique est effectué 1 an après la première mise en circulation puis chaque année qui suit dans un centre de contrôle privé. Si le véhicule a tout d’abord été utilisé à d’autres fins, un premier contrôle technique est effectué lors de son inscription en tant que taxi.
Le contrôle technique périodique des taxis est similaire à celui des véhicules privés : les 133 points de contrôle traditionnels sont analysés par le contrôleur agréé. Mais certains éléments spécifiques au taxi sont également contrôlés à cette occasion :
Le défaut de contrôle technique périodique sur un taxi peut entraîner une amende, mais également la confiscation du certificat d’immatriculation, voire l’immobilisation du véhicule par les forces de l’ordre. Il vous sera impossible d’exercer votre métier tant que vous n’aurez pas effectué de contrôle technique.
Pensez-y : le contrôle technique sur les taxis, c’est tous les ans !